Tuesday, October 18, 2022

Note de méthodologie sur la ville de Chongqing 重庆


Cette note méthodologique correspond à la deuxième partie de l’étude du portrait de ville de Chongqing, la première partie sera réalisé par Xie Yixin.

Chongqing  est la plus grande ville du sud-ouest de la Chine, ancienne capitale du pays en temps de guerre dans les années 1940, elle est le centre de l’économie, des finances, de la navigation, de la culture, de l’éducation et de la technologie dans le cours supérieur du fleuve Yangtze, un centre important pour la distribution et le transport de marchandises en Chine, ainsi qu’une base importante pour l’industrialisation moderne du pays. Cette ville est intéressante dans la mesure où elle a connu une croissance économique substantielle au cours des dernières décennies.

Nous avons décidé d’analyser ce portrait de ville sous un angle socio-économique et socio-spatial. Dans cette deuxième partie, je me concentrerai sur le développement économique et social de la ville Chongqing depuis 1997 , comment la ville a-t-elle accompli un exploit aussi impressionnant malgré l'impact de la crise financière mondiale de 2007 et les turbulences politiques de 2012 ? ensuite je me concentrerai aussi sur l’établissement urbain des migrants à Chongqing, étant  la première municipalité à mettre en œuvre des éléments du nouveau plan d'urbanisation de la Chine.

Pour accomplir cette recherche , je compte m’appuyer sur des différents articles scientifique qui traitent le développement économique et le nouveau plan d'urbanisation et l'établissement urbain permanent des migrants à Chongqing.


Reyane Maafi. 

Social Credit System

 Voici une note qui synthétise bien les enjeux du SCS en Chine. 

China’s social credit score – untangling myth from reality


Monday, October 17, 2022

Note de méthodologie sur la ville de Beijing

Cette note porte sur la ville de Pékin, ou Beijing 北京, capitale de la République Populaire de Chine. Elle est réalisée en binôme avec Grégory BERNAL.

La ville de Beijing se situe au Nord-Est du pays. Avec ses 21 millions d’habitants, elle est une des huit métropoles du pays et est souvent décrite comme le centre politique et culturel du pays. Depuis les années 80, sa croissance est exponentielle et les changements que connait le pays se reflètent également à travers sa capitale. C’est pourquoi l’étude de cette dernière est pertinent pour appréhender les nouveaux enjeux auxquels fait face le pays après ces quatre dernières décennies de fortes croissances et de nombreux développements.

Deux enjeux se dégagent aux yeux des autorités centrales : « d’une part, l’extension très rapide des zones périurbaines, […] et d’autre part, le coût pour la santé publique, notamment avec les effets sur la santé et la pollution de l’air, mais aussi celle des ressources en eau »[1].

Ainsi, l’angle de recherche de cette partie du travail porte notamment sur les conséquences de ces nouveaux enjeux : environnementales, sociales et économiques.En effet, la ville de Beijing se développe mais quels dysfonctionnements peut-elle rencontrer de nos jours ? De quelle nature sont-ils ? Mais également, quelles solutions sont apportées ou ont pu être apportées jusque-là ? Par qui et comment ? Ces questions de recherches permettent d’exposer l’espace urbain actuel de la ville par ses nouvelles constructions et ses récentes innovations qui répondent à ces nouveaux enjeux que rencontrent le gouvernement central de Beijing.

Pour étayer nos propos, nous nous reposons sur des articles scientifiques et différents supports en trois langues principales : français, anglais et chinois. La bibliographie est partagée et nous utilisons des ressources scientifiques mais également des outils en ligne tel que le Beijing City Lab, une « communauté de recherche virtuelle » dédiée à la ville.

Irène XU


Source : Lévy Christian, « Les enjeux du développement urbain en Chine », Annales des Mines - Responsabilité et environnement, 84-4, 2016, p. 79‑83.

Note de méthodologie sur le portrait de la ville de Beijing 1.

 Beijing, ou Pékin est la capitale de la République populaire de Chine. C'est le centre politique, le centre culturel, le centre de communication international et le centre d'innovation scientifique et technologique du pays. C’est la capitale nationale la plus peuplée du monde, avec plus de 21 millions d'habitants au sein d'une zone administrative de 16 410,5 km2. En tant que mégapole, Pékin est la deuxième plus grande ville chinoise en termes de population urbaine après Shanghai. Elle abrite le siège de la plupart des plus grandes entreprises publiques chinoises

Ces dernières années, le rapide développement de la Chine et de ses mégalopoles est un phénomène dont on parle de plus en plus. Les origines de ce développement économique et social sont variées, et le tourisme est acteur majeur de ce développement.

A travers l’étude du tourisme de la ville de Beijing, j’aimerais brosser un portrait sociaux-culturelle mais aussi historique de cette ville. En effet, Beijing est la capitale culturelle, politique de la chine mais aussi un important centre économique et culturel.  Elle a aussi été par le passé, le capital de nombreuses dynasties, ce qui en fait une ville historique et riche de son patrimoine. Elle compte aussi quelques-uns des sites touristiques les plus connu de la chine et même de la planète. Par exemple, la Cité interdite, la Grande Muraille, le Temple du Ciel, attirent des millions de visiteurs du fait de leur architecture et de leur histoire. Beijing a notamment reçu les jeux Olympiques de 2008, ce qui a permis à la ville de rénover ses quartiers traditionnels ainsi que de se moderniser.

Pour réaliser ce projet, je compte m’appuyer sur diverses sources qui traitent du développement du tourisme à Beijing, mais aussi sur des sources historiques pour tenter de comprendre comment cette ville est devenue le capital culturel de la chine.

 BERNAL Grégory 

Note Busan deuxième partie

 Cette partie méthodologique correspond à la deuxième partie de l’étude de la ville de Busan. La première partie sera réalisée par Marie.

 En effet, Busan est une ville qui connaît des modèles spatiaux en essors et d'une croissance économique urbaine rapide importante. Elle est devenu la seconde ville la plus peuplée de la Corée du sud et détient le plus grand port maritime du pays. Elle fait également partie des 3 villes les plus avancées du pays. Cette réussite se traduit par exemple grâce à son partenariat avec la plus grande entreprise de télécommunication du pays Cisco et KT, son chemin de fer, son aéroport et ces stratégies touristiques et son grand port maritime.

 Cependant, au cours des 20 dernières années la ville a connu une stagnation économique et démographique. Les habitants veulent passer de l'ouest de Busan à l'est de la ville, où se trouve le district de Haeundae. Ce phénomène social est dû à l'existence apparente d'inégalités socio spatiales.

 Pour cela, nous avons décidé de mener notre étude sous un angle socio-économique et socio spatiale. Dans cette deuxième partie, j’essayerai de me pencher sur une étude de cas qui se concentrera sur la rapidité de l’urbanisation de Busan et de son actuelle stagnation de sa population à l’aide d’articles scientifiques.

 Les prochaines recherches porterons sur une analyse plus approfondie de l’étude de cas afin d’avoir des informations plus détaillées tout en se posant la question de comment les schémas de la croissance urbaines vont-ils évoluer alors que la ville connaît une stagnation démographique ? Pour finir, nous allons construire une bibliographie détaillée.

PAPIER Ophélie

Note sur la ville de Busan

    Busan, aussi romanisée Pusan et officiellement connue sous le nom de Ville métropolitaine de Busan, est la deuxième ville la plus peuplée de Corée du Sud après Séoul avec 3,7 millions d’habitants. Son port est le plus actif de Corée du Sud et le neuvième plus important du monde.

    Dès le XV° siècle, le port de la ville de Busan est désigné comme port d’échange avec les Japonais. En 1876, il devient le premier port international de Corée suite au Traité de Ganghwa puis, lors de l’occupation japonaise, les Japonais le transforment en hub portuaire.

    Pour ce portrait de ville que nous réalisons avec Ophélie, j’ai choisi de diriger mes recherches vers la position et le développement de Busan dans l’histoire de la Corée. D’abord point de liaison majeur avec le Japon, Busan est devenue une capitale provisoire de la Corée du Sud lors de la Guerre de Corée, étant une des seules villes sud-coréennes à n’avoir jamais été envahie par la Corée du Nord. Le périmètre du Busan a notamment permis aux troupes de l’ONU de débarquer en Corée du Sud pour aider à repousser les forces nord-coréennes.

    Dans un second temps, nous envisageons d’étudier l’urbanisation rapide de Busan ainsi que la stagnation de la population dans cette ville qui prône pourtant son dynamisme, à l’aide d’articles scientifiques.

    Pour la suite de mes recherches, je compte me concentrer sur le développement des autres infrastructures de Busan, en dehors du port, et apporter plus de ressources sur le rôle du Japon dans le développement de Busan.


GALLAND Marie

Sunday, October 16, 2022

Note de méthodologie sur la ville d'Incheon

    Le travail sur le portrait de ville, portera sur Incheon, ville portuaire située à cinquante kilomètres à l’Ouest de la capitale de la péninsule. J’aimerais m’intéresser à cette ville d’un point de vue économique, ainsi que touristique, et éventuellement social, point qui pourrait être abordé dans la seconde partie de ce travail.

     Incheon étant la deuxième ville la plus grande du pays après la capitale, j’aimerais m’intéresser au rôle que la ville peut avoir dans l’augmentation de la visibilité du pays sur la scène internationale.

    Ville portuaire, elle permet l’échange avec l’éxterieur du pays contribuant à son enrichissement à  travers des échanges économiques.

     De plus, en 2003 la Corée désigne Incheon comme Zone Economique Libre ce qui semblerait  contribuer au rayonnement du pays à travers le développement de villes comme Songdo, nommée première Ville Intelligente, faisant partie de la zone franche d’Incheon, mais aussi à travers celle de Cheongna ou de l'île Yeongjong.

De plus, la ville accueillant l’aéroport international d’Incheon, elle permet l’arrivée de voyageurs du monde entier, constitue un point d’entrée important sur le territoire sud-coréen, et contribue ainsi au développement du pôle touristique.

Cependant il semblerait que la ville sud-coréenne se retrouve face à des problèmes sociaux sur le plan du logements.

On pourrait donc se demander en quoi Incheon contribue à développer l’économie et le tourisme  de la Corée à travers son port, son aéroport, ainsi que ses projets d’aménagement, et se demander quels sont les problèmes sociaux qui touchent la ville à travers le logement.

 

Pour la première partie de ce travail, j’aimerais traiter le plan économique avec cette Zone Economique Libre et les échanges à l’international à travers une bibliographie détaillée. Lors des prochaines recherches, pour la deuxième partie je compte développer la bibliographie avec des articles en différentes langues ainsi que des images, et traiter le pôle touristique ainsi que le problème social auquel cette ville fait face.


MUSSO Steven

Note de méthodologie sur la ville Séoul

 Cette note méthodologique constitue la deuxième partie de l’étude de la ville de Séoul, première partie assurée par Anaé.


En effet, les questions urbaines à Séoul sont multiples et variées. Nous avons choisi d’étudier la ville sous un angle socio-économique et nous focaliser sur les disparités présentes au niveau urbain.


Il semble y avoir un fort contraste entre les différentes classes sociales déterminé par l’âge et la situation géographique. À la suite de la première partie, focalisée sur l’historique socio-urbain de la ville, mais plus particulièrement du quartier, du milieu du XXe siècle jusqu’aux années 90, la deuxième partie portera son attention sur une étude de cas plus précise. Un des exemples envisagés est celui du quartier de Gangnam à Séoul, connu pour ses gratte-ciel et ses « chaebol », mais moins connu pour sa population du « village » de Guryong, la plus précaire de Séoul dont le quartier est considéré comme « le bidonville » de la capitale. Ces deux populations vivant dans des conditions opposées cohabitent côte à côte. Par ailleurs des politiques de déplacement des populations dans un but de les relocaliser les habitants de Guryong mis en place peuvent également constituer un élément de recherche intéressant.


Cette étude essayera donc de se pencher sur la question des inégalités sociales dans le quartier de Gangnam à Séoul et plus particulièrement de la différence entre le bidonville de Guryong et le reste de Gangnam à travers le prisme pluridisciplinaire historique et socio-économique.


Les prochaines recherches porteront sur un approfondissement des questions et hypothèses apportées jusqu’à présent, ainsi qu’une élaboration d’une bibliographie détaillée d’une part sur les politiques sociales et économiques et d’autre part sur le détail d’un « profil-type » des habitants du quartier de Guryong.



NIEGO Orane

Note de méthodologie sur le portait de la ville de Séoul.

 

La ville de Séoul a connu une évolution dans son environnement urbain ce qui lui a permis de se placer au rang des villes les plus dynamiques aussi bien en Asie que dans le monde entier. De ce fait, les questions urbaines à Séoul sont multiples. Après avoir exploré les différentes spécificités de la ville comme ses enjeux spatiaux, économiques, touristiques ou encore architecturaux, nous avons décidé de porter notre attention sur le développement socio-économique important à Séoul.

Notre travail se constituerait donc, par une approche pluridisciplinaire à savoir historique et socio-économique, d’une partie sur l’évolution urbaine de la ville pour laquelle je contribue et d’une autre sur les contrastes des classes présente dans le quartier de Gangnam, quartier qui fera l’objet d’une étude de cas mené par Orane.

 En effet, connu pour sa croissance et sa reconstruction fulgurante, la ville connaît également aujourd’hui de grandes disparités socio-économiques, mais aussi spatiales. À travers une étude d’abord historique sur cette croissance importante via des politiques urbaines, économiques et sociales puis une étude de cas sur les différents profils de population au sein de la ville, nous essaierons de dresser le portrait des enjeux urbains de la capitale de Corée du Sud. La partie historique retracera de manière chronologique l’influence de la colonisation japonaise (1910-1945), la guerre de Corée (1950-1953) ainsi que la crise économique de 1997. Et la deuxième partie s’arrêtera sur la population Guryong dans le quartier de Gangnam, une population qui représente bien le contraste social des deux populations aux statuts différents mais résidant au sein d’un seul et même quartier.

En ce qui concerne la préparation du projet finale et la suite des recherches sur la question de la ville de Séoul, nous allons donc apporter de la profondeur à notre travail en mettant en perspective davantage d’articles, documentaires, images et autres références ce qui aidera in fine, à la composition d’une bibliographie plus riche sur le sujet.

FABRIZY Anaé.

Wednesday, October 12, 2022

Méthode sur le travail du portrait de Chongqing

 L'étude du portrait de ville est une étude sociologique interdisciplinaire de "la société dans la ville" et de "la ville dans la société" : qui concerne la consommation et le logement du point de vue de la productivité, le travail et l'emploi du point de vue des ressources humaines ; qui nécessite une perspective sociale sur l'histoire, l’espace, la géographie, la répartition de la population et les modèles sociaux des villes, afin d'analyser leur processus d'urbanisation et des modes de gestion des villes.

À mon avis, la morphologie spatiale urbaine est la principale direction de recherche. L'étude du zonage morphologique de l'espace urbain permet d'observer la ville comme un organisme unifié avec ses mécanismes internes, ce qui permet de clarifier le système logique interne actuel du développement spatial urbain et de disséquer les dynamiques internes et externes de la représentation et du développement spatial urbain, fournissant ainsi une référence efficace pour l'étude des formes sociales dans la ville.

En plus, pour une capitale historiquement spécifique telle que Chongqing, une analyse du contexte historique de la ville est également utile pour étudier la supériorité géospatiale de la ville.

Dans les prochains travaux de groupe, je me concentrerai sur le contexte historique de Chongqing et sur le développement des zones spatiales urbaines de la ville de la période ROC à nos jours.


XIE Yixin